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Date de création : 20.01.2011
Dernière mise à jour : 05.01.2013
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Lettre aux Intellectuels Africains

Publié le 20/02/2011 à 16:10 par gilefarese Tags : 2010 chez fond france création nuit histoire mort femmes argent afrique isabelle burkina

 

Aux Intellectuels Africains Panafricanistes et Anti-néocolonialistes

1- Laurent Gbagbo, tout sauf un panafricaniste

L’ impasse politique en Côte d’Ivoire entre le président nommé par le conseil constitutionnel- Laurent Gbagbo et le président élu par le peuple- Alassane Ouattara suscite depuis quelques temps l’émoi tant dans la presse Ivoirienne qu’internationale. Pour certains intellectuels Africains tels que Calixthe Beyala, Tierno Monemembo, Albert Bourgiet autres, Laurent Gbagbo incarnerait le nouveau visage de la lutte anti-néocolonialiste et serait le panafricaniste par excellence. Le plus ahurissant chez ces intellectuels Africains et autres pseudo-éveilleurs de conscience, partisans du panafricanisme, pseudo-patriotes, anti-néocolonialistes est qu’ils voient dans l’obstination aveugle de Laurent Gbagbo à se maintenir au pouvoir, un réflet de sa volonté à préserver la dignité de l’Afrique et à continuer le combat que feu-Kwamé Nkrumah avait commencé à travers le panafricanisme.

Tout d’abord, il est important de préciser que contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, le Panafricanisme n’a pas été inventé par Nkrumah. Kamawrmesha1 revèle que le panafricanisme est né à la fin du XIX ème siècle aux Caraibes et en Amérique du Nord sous l’inspiration de leaders que sont: Edward Wilmot Blyden(1832 - 1912) , Joseph Anténor Firmin(1850 - 1911), Henry Sylvester-Williams(1869 – 1911), Benito Sylvain, W.E.B Du Bois(1868 –1963) ,Booker Taliaferro Washington(1856 – 1915 ), Marcus Mosiah Garvey(1887-1940). Le mot panafricanisme fut publiquement utilisé pour la première fois à Londres en 1900 lors d’une conférence organisée par ces même leaders. Tout d’abord ce mouvement apparaissait comme la réponse des esclaves noirs des Amériques à la condition et situation d’infériorité qui leur était faite doublée d’un désir de retour à la mère patrie ainsi que l’expression d’une culture et d’une civilisation africaines authentiques. Une fois le combat pour l’abolition de l’esclavage terminé, le concept évolua. C’est ainsi qu’après la deuxième guerre mondiale, il prit la forme que l’on connait aujourd’hui avec l’entrée en scène de nouveaux leaders comme le JamaïcainGeorge Padmore, le GhanéenKwamé Nkrumah, l’ HaitienCésaire, le SénégalaisSenghor,le GuadeloupéenPatrice Tirolienet le GuyanaisLéon-gontran Damas . Si pour les quatre derniers le panafricanisme prenait une forme d’expression culturelle et littéraire à travers la « négritude » qui était une attitude d’autodéfense de la société négro-africaine, Nkrumah lui voyait le panafricanisme autrement. Kamawrmesha revèle que pour Nkrumah « l’Afrique doit s’unir » à travers la création des Etats-Unis d’Afrique. Nkrumah soutenait que l’unité politique, économique et militaire était la condition majeure pour relever le défi que posait la balkanisation de l’Afrique et sa domination par les puissances de la conférence de Berlin.

Selon Isabelle Sciamma2, le panafricanisme tel que défini par Nkrumah lui même était “L’éveil d’une conscience Africaine, la construction d’une unité humaine, politique et économique maîtresse d’un destin qui lui appartient”.

Aux vues de tous ses différents courants et formes d’ expression du panafricanisme, en quoi la tentative de brigandage du pouvoir par Laurent Gbagbo au détriment d’Alassane Ouattara et son combat aveugle contre la communauté internationale, l’ Union Africaine (UA) et la CEDEAO constitue t-elle un rapprochement vers le panafricanisme?  Laurent Gbagbo a pendant les dix années passées à la tête de la Côte d’Ivoire, activement contribué à tuer le panafricanisme et cela pour les raisons suivantes.

Premièrement, comment expliquer cette animosité manifeste à l’encontre des étrangers (Maliens, Guinéens, Burkinabés, Nigeriens et autres) dès son arrivée au pouvoir? Les rackets, arrestations arbitraires, intimidations, chantages contre ces populations étaient monnaie courante et absolument injustifiée. Tout en sachant que certaines de ces populations étaient installées en Côte d’Ivoire depuis plusieurs générations, un tel harcèlement était absolument absurde. Et c’est l’accumulation de ces frustrations et maltraitances envers ces populations innocentes qui a servi d’alibi à la rébellion armée de 2002.

Deuxièmement, et comme pour mettre un point d’ honneur à sa haine de l’étranger, les escadrons de la morts furent mis en place. Ces prédateurs professionnels, avides de sang et de chair humaine sillonaient les quartiers populaires d’ ABOBO, ANYAMA, KOUMASSI, WASSAKARA etc pour  enlever, torturer puis assassiner des soit-disants rébelles qui n’etaient en réalité que de pauvres habitants sans défense dont le seul tort était d’être étranger ou de porter un patronyme à consonance nordique. Combien de personnes ont été tuées au motif qu’elles s’appelaient Koné, Bamba, Ouattara, Coulibaly, Bakayoko ou que sais-je encore? Chers panafricanistes, est-ce cela le Panafricanisme dont Nkrumah, Cesaire et Garvey parlaient?

Troisièmement, comment justifier l’exclusion de plus de 2 millions de personnes des listes électorales au prétexte qu’elles sont de “nationalité douteuse”? Pour quiconque connait l’ Afrique, le brassage des populations et les migrations inter-états ont toujours existé. De même que les Baoulés étaient venus du Ghana, les Krous du Libéria, les Malinkés sont eux aussi venus du Mali, Burkina Faso et de la Guinée. Pourquoi donc exclure seulement ceux dont les noms sont à consonnance nordique et donc Malinké? Est-ce cela le panafricanisme prôné par George Padmore et WEB DuBois?

Finalement je dirai qu’être Panafricaniste, c’est aussi savoir écouter les conseils de ses voisins Africains, regroupés au sein de la CEDEAO et de l’ Union Africaine (UA), qui ne cessent de lui demander de céder le pouvoir.


2-Laurent Gbagbo et autres, tous pro-néocolonialistes

Dans cette seconde partie de ma lettre, je m’attarderai sur la notion d’anti-néocolonialisme, argument que brandissent ces Intellectuels pro-Gbagbo pour justifier son combat aveugle contre l’Occident et l’Afrique toute entière après des élections que le monde entier s’accorde à dire qu’il a lamentablement perdues.

Si la notion de panafricanisme a une origine plus ancienne (antérieure à N’Krumah), il n’en est pas de même pour le néocolonialisme. La plupart des opposants au néocolonialisme situent la survenue de cette théorie aux alentours des années 1960, c’est-à-dire au lendemain des indépendances.

Pour N’krumah, le néocolonialisme serait une forme déguisée de l’impérialisme. N’Krumah soutenait que “le néocolonialisme est le contrôle d’autres nations par des moyens indirects. Les puissances néocolonialistes utilisent des politiques commerciales, économiques, financières et culturelles afin de dominer des pays moins puissant” (cf.Kwamé N’Krumah dans Le néo-colonialisme : Dernier stade de l'impérialisme”, Éditions Présence Africaine, coll. « Le panafricanisme », Paris,2009, 268 p. par). A travers le néocolonialisme, certainesorganisations internationales, telles que la Banque Mondiale (BM) et le FMI peuvent contrôler et exploiter des pays sous-développés (PMD) en entretenant leur endettement. Selon le sociologue Américain Immanuel Maurice Wallerstein,le néocolonialisme s’accomoderait  parfaitement avec sa “théorie de la dépendence”qui soutient que la pauvreté, l'instabilité politique, et le sous-développement des pays du Sud sont la conséquence de processus historiques mis en place par les pays du Nord ayant comme résultat la dépendance économique des pays du Sud.

A y voir de plus près, il serait donc question ici d’emprunt et de remboursement. En clair, que les pays Africains sont en quelques sortes “forcés” d’emprunter des sommes d’argent qu’ils ne peuvent plus par la suite rembourser. Ma question est toute simple. Comment est-ce que les pays Africains comptent se dévélopper sans emprunter d’argent? Tout en sachant que même les pays les plus puissants au monde comme la France, l’Allemagne ou les Etats-Unis ne peuvent s’empêcher d’emprunter. Pour illustrer mes propos, j’aimerais simplement rappeler que la dette extérieure des Etats-Unis s’élève à plus 13 mille milliards de dollars selon la source http://theeconomiccollapseblog.com/archives/u-s-national-debt-2010. Celle de la France est d’environ 5 mille milliards de dollars. Quelqu’un peut-il donc me dire comment est-ce que l’Afrique pourra faire face aux grands défis de demain sans emprunter d’argent?

Pour moi, le problème n’est pas tant l’emprunt mais plutôt l’usage qu’il en est fait. Combien de milliards ont déjà été empruntés par certains gouvernements Africains fantôches comme celui de Gbagbo et qui par la suite ont été détournés à des fins personnelles ou pour l’achat d’armes de guerre? Les scandals financiers sous l’ère Gbagbo, puisque c’est de lui qu’il s’agit ici, sont légions. Des détournements de la filière café-cacao à la duperie de l’achat de l’usine Fulton aux Etats-Unis en passant par les fonds versés par TRAFIGURA pour le scandal des déchets toxiques, et le scandal au fond de prévoyance militaire, ne sont que ceux connus du grand public. Quand le gaspillage s’érige en règle de gouvernance, les conséquences sont celles que nous voyons tous en Côte d’Ivoire. Pas de nouvelles écoles, pas d’hôpitaux, pas d’universités ni de routes en 10 ans de pouvoir. Quelle honte! Où est donc passé tout cet argent emprunté?

Je vais vous le dire, chers intellectuels Africains “Gbagbophiles” pour la circonstance. Cet argent est bien au frais, là-bas chez le colon d’autrefois qu’ils prétendent combattre. La preuve est que tous les pays de l’Union Européene et la Suisse ont ordonné le gel des avoirs de plus de 85 personnalités Ivoiriennes fidèles à Laurent Gbagbo. Tout cet argent n’aurait-il pas pu servir à la construction d’hôpitaux modernes, d’universités, d’écoles, de routes, de ponts, et autres infrastructures dont tout pays civilisé se dote? Combien d’entre eux ont encore des comptes en banque dans les banques Africaines comme la BCEAO,la SIB, ou même la COOPEC (coopérative d’épargne et de crédit)? Tous sans exception se sont précipités dès leur arrivée au pouvoir, vers des pays comme la Suisse, les Caraïbes  et les îles Caïmans pour y ouvrir des comptes.

Aussi, comment expliquer que la majorité des importants contrats du port d’Abidjan soient tous aux mains des grands groupes étrangers comme Bolhoré et Bouygues? Est-ce cela une attitude anti-néocolonialiste? Comment comprendre qu’un anti-néocolonialiste puisse brader les contrats d’exploitation du pétrole à des enterprises étrangères à tel point qu’en Côte d’Ivoire, le carburant coûte plus cher que dans les pays comme le Mali et le Burkina Faso qui n’en produisent pas?

Pour terminer, il est important de comprendre que le néocolonialisme, même s’il a été inventé par les colons d’antan, est avant tout encouragé par nous même Africains à travers nos gouvernants corrompus, malhonnêtes, et incompétants, qui par le mauvais usage de l’argent emprunté contribuent à enfoncer l’Afrique dans ce gouffre déjà beaucoup trop profond. En plus de nos gouvernants faussoyeurs , nous aussi à notre niveau individuel y contribuons consciemment ou inconsciemment.

Les plus riches d’entre nous que sont nos footballeurs; Drogba, Eto’o, Touré, Essien, Adébayor et autres (que j’admire par ailleurs en tant que sportifs) ne sont pas en marge. En effet, le site portugaiswww.futebolfinance.comstipule que les salaires annuels versés par les clubs et les revenus publicitaires de ces joueurs commeDrogba, Eto’o et Essiens’élèvent à 7.380.000 €, 5.040.000 €, 5.004.000 € respectivement (à multiplier par 750 pour la conversion en FCFA). Je me demande bien combien de ces sommes faramineuses-qu’ils méritent par ailleurs-ont été déposés à la BAD ou la BCEAO afin que cela puisse servir à financer des projets de développement en Afrique. Les plus gros investissements sur le continent que ces joueurs ont réalisés, si je ne m’abuse, sont la construction de maquis et de boîte de nuit pour encourager la jeunesse à la dépravation.

Même les plus pauvres d’entre nous ne sont pas en reste. Nous y contribuons, je doit l’admettre inconsciement pour la plupart. Combien de chauffeurs de mini-cars (Gbakpa) d’ABOBO, ou de taxi de YOPOUGON gardent encore l’argent de leur recettes sous leurs matelas à la maison au lieu de les mettre à la banque? Combien de vendeuses de beignets d’ATTECOUBE ou de gombo au marché de TREICHVILLE préfèrent encore garder leur argent dans leurs soutien-gorges ou attaché au bout de leurs pagnes, au lieu d’ouvrir ne serait-ce qu’un compte courant à la banque? Chers Africains, il faudrait nous même enrichir nos banques et non celle des autres en y mettant notre propre argent, peu importe la somme, afin que cela puisse servir.Comment voulons-nous que nos banques locales puissent accorder des prêts si nous même n’apportons pas d’eau au moulin? Et c’est cela aussi la triste réalité en Afrique, chers panafricanistes et anti-néocolonialistes.

Aussi combien de millions sont depensés par nos familles dans les funérailles ou les anniversaires, mariages, baptêmes, et autres cérémonies superflues. Ne serait-il pas plus judicieux d’utiliser cet argent à d’autres fins plus utiles-telles que soigner , éduquer, et nourir ceux qui sont encore vivants?


CHERS PANAFRICANISTES, VOICI LES DEFIS QUI NOUS ATTENDENT

Je terminerai mes propos en souligneant que bien que le Panafricanisme en lui même soit un concept qui fasse rêver les Africains, moi inclu, la réalité sur le terrain s’annonce beaucoup plus difficile tant les divergences entre nous sont énormes. A y regarder de près, la seule chose qu’on ait finalement en commun est la couleur de notre peau. Si on s’attarde sur la théorie de Nkrumah qui consiste à créer les Etats Unis d’Afrique-chose tout à fait souhaitable et faisable par ailleurs- plusieurs défis devront  être adressés. Tout d’abord, il faudra résoudre le problème de l’uniformité de la langue. Deviendrons nous tous francophones, anglophones luzophones ou arabes? Ensuite, il faudra s’attaquer aux divergences réligieuses. Deviendrons-nous tous musulmans, chrétiens, animistes, raeliens, franc-macons etc? Tolérerons-nous que des femmes se fassent fouetter sur la place publique chez le voisin El-Béchir du Soudan sous pretexte qu’elles auraient porté des pantalons jugés trop moulants? Ou que des filles de 15 ans se fassent exciser en Guinée et au Mali pour les forcer à rester fidèles à des vieillards répugnants de 60 ans et plus, qu’on les aurait forcer à épouser? Allons-nous légaliser la polygamie? Allons-nous être plus tolérants envers les minorités telles que les malades du SIDA, les homosexuels et les femmes infertiles? Accepterons-nous que des personnes en Côte d’Ivoire indiquent aux escadrons de la mort les maisons de leurs voisins au prétexte qu’ils soient musulmans ou qu’ils aient voté pour Ouattara? Accepterons-nous au nom du panafricanisme que sous prétexte d’implication internationale en Côte d’Ivoire,  Ouattara se fasse voler sa victoire aux élections présidentielles au simple argument que l’ami Yao N’Dré du conseil constitutionnel ait dit qu’il devait en être ainsi?

Je vous invite donc chers intellectuels Africains à éviter tout amalgamme car votre panafricanisme et votre lutte anti-néocolonialiste, Laurent Gbagbo lui n’en a rien à foutre. Tout ce qui l’intéresse, c’est de s’éterniser au pouvoir peu importe le prix à payer, y compris la destruction de la Côte d’ivoire. “Au pouvoir, j’y suis, j’y reste” disait-il fièrement lors de la campagne présidentielle.

Gile Farese

1- Kamawrmesha, Auditeur Libre. http://www.lvdpg.org/Histoire-Les-peres-du-Panafricanisme_a3775.html, Juillet 2003. 2- Isabelle Sciamma,http://www.afrik.com/article6347.html,Avril 2010

Commentaires (3)

Anonyme le 20/02/2011
Bonjour Gile
Je n'ai pas pu terminer ta piteuse lettre car elle est tout sauf une lettre aux intellectuels africains. Tu gagneras à demander à ton mentor de ne pas aller en plus loin dans son égarement car l'occident est un couteau à double tranchant. Aujourd'hui Jean Pierre Bemba, Charles Taylor et autres sont humiliés après fait les beaux jours de l'occident.Alassane croit faire du mal à la Côte d'Ivoire et pourtant c'est bien à lui-même qu'il fait du tort.Frère, si tu es ivoirien, ouvre les yeux pour savoir que partout où il y a eu un contentieux post électoral,la solution apportée était le recomptage des voix.De quoi Alassane a-t-il peur en refusant le recomptage des voix? Lui qui est si démocrate et qui aime tant la Côte d'Ivoire "son pays".
Ouvre les yeux mon frère.


Jiselle le 05/03/2011
anonyme si ta rien a raconter degage d'ici. g vois b1 ke ta cervelle a oci ete lave avec la lmp tv. mais quand est ce que vous aller ouvrir les yeux et voire que LG vous roule tous ds la farine? merci Gile pour cet article. tu as de tres bons arguments!


Seneye le 17/03/2011
Jiselle, ne vous fatiguez pas à parler à ce type d'énergumène, vous n'y pouvez rien, c'est malheureux mais c'est comme ça, gardez espoir et vous verrez nous sortirons de cette crise, ce cauchemar tire à sa fin. Mr Gbagbo et sa clique partiront et nous reconstruirons ce pays avec toutes les personnes qui l'aiment vraiment. COURAGE ET ESPERANCE VOUS PERMETTRONT D'AVANCER.


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